La loi Fillon est un dispositif qui permet de réduire le montant des cotisations patronales de Sécurité sociale (maladie, maternité, invalidité, vieillesse, décès) et des allocations familiales pour les bas salaires. Pourquoi un changement des règles de calcul issues de la loi Fillon ? Il convient de noter que la loi de financement rectificative de la Sécurité sociale vise à transposer les dispositions issues du pacte de responsabilité de façon à réduire le coût du travail en France. L’objectif de cette mesure consiste bien évidemment à gagner en compétitivité. Quelles sont les modifications apportées à la loi Fillon ? La loi de financement rectificative de la Sécurité sociale de 2014 prévoit une modification du taux de cotisation patronale d’allocations familiales. En France, le souci des inégalités rend invisible la pauvreté. Par exemple, l’organisation Oxfam, dont le nom est lié à la famine (Oxford Committee for Famine Relief), a centré sa campagne sur les riches. Les médias ont donné les noms des milliardaires qui posséderaient autant que la moitié de l’humanité mais n’ont pas dit un mot des pauvres. Pourtant, citer des noms de pauvres augmente la sympathie à leur égard et favorise la décision altruiste, comme de nombreuses études le montrent. L’invisibilité des pauvres pourrait être expliquée par le contexte actuel. Il y a certes une bonne nouvelle : la proportion des pauvres dans le monde a drastiquement baissé. Merci à tous les Français que j’ai rencontrés et qui m’ont tant appris. Plusieurs autres personnalités de la majorité briguent l’investiture LREM à Paris, dont les députés Cédric Villani et Hugues Renson, le sénateur Julien Bargeton et l’élue du IVe arrondissement Anne Lebreton. L’Elysée n’a pas encore indiqué les noms de leurs remplaçants, qui seront nommés d’ici lundi, date du prochain conseil des ministres. Probablement pas avant vendredi, après le retour d’Edouard Philippe du Qatar, selon des sources gouvernementales. Parmi les favoris figurent Clément Beaune, conseiller Europe d’Emmanuel Macron, qui remplacerait Mme Loiseau. Pour le port-parolat ont circulé les noms d’Emanuelle Wargon, Marc Fesneau et Gabriel Attal. Ces trois départs portent à dix le nombre de membres du gouvenement qui sont partis, volontairement ou non, depuis le début du quinquennat.